Répit

Une lumière apparu et Kal'torak et Engess apparurent devant les lourdes portes de la cité. Torak avais juste assez de force pour rouler sur lui même et aller s'éttaler a coté d'Engess. Il ne pouvait pourtant pas se téléporter a des endroit inconnus mais pourtant ce décord tous blanc et cette porte aussi blanche ne lui disait rien mais il n'avait penser a rien en se téléportant.

*Je nous est peu être téléporter dans l'autre monde...* pensa torak juste avant de plonger dans un coma.

(H.J. libre a tous)

(ouais vener sauver deux povre comateux)

Lömion, vêtu d'une belle tenue d'apparat, avait ressenti la présence de deux êtres, emdormis dans un profond sommeil. Il se dépêcha d'aller à leur rencontre, un pas de course. Son coeur se serra lorsqu'il vu Engess, blessée. Le demi-ange prit leurs pous, ils semblaient normaux. Il s'occupa d'abord du jeune homme au masque, le retourna sur le ventre observa ses brûlures. Elles étaient graves. Lömion se pressa d'appliquer des plantes médicinales qu'il avait cueilli la veille ( coinscidence? ) et d'entourer son torse d'un épais bandage de coton. Il s'assit alors près de sa belle, et, remarqua une blessure ( causée probablement par une flèche ) grossièrement autourée d'un morceau de cape. Lömion nettoya la plaie avec de l'eau pure et fit le même procédé qu'au jeune homme. Après les blessures soignées, le demi-ange appela un bon ami d'enfance ( ange lui aussi ) par la penssée. Il vint aussitôt, accompagné d'un cheval noir et d'une grosse charette. Il remercia l'ange, embarqua les deux blessés dans la charette et commença sa longue route.

Engess était accroupit. Le sang qui un instant plus tôt allait la noyer s'était retiré. Elle était à nouveau seul…

Engess ouvrit lentement les yeux. Le ciel au-dessus de sa tête défilait.

*Je dois être dans une charrette ou quelque chose de ce genre.*

Elle s'agenouilla dans la charrette et regarda autour d'elle. Kal'torak était toujours sans connaissance. Elle reconnue aussi le dos de Lömion Finiel. Elle était encore faible mais elle pouvait marcher sans crainte. La jeune fille enjamba la rambarde de bois et alla s'asseoir à coté de son beau chevalier

- Bonjours…

Lömion sursauta à ce mot, puis se détendit en voyant la belle Engess. Tenant les reines d'une main, il entoura la jeune femme de l'autre. Il l'embrassa dans le cou, et puis lui chuchota à l'oreille :

- J'ai eu si peur pour toi...

- Ne t en fait pas , je suis plus resistante que j en ai l air...

lui repondi t elle en s abandonnant a l etreinte du demi-ange qui occupait desormait son coeur

La doux visage de l'ange s'attrista, et puis lui posa la question qui lui brûlait les lèvres...

- Esque c'est la même créature qui vous a attaqué? Cet être maléfique...

le visage d engess s asombrit

-oui c lui. il me poursuit sans cesse et j en ingnore la raison. lorceque kal torak se reveillera il poura m en dire davantage mais pour le moment j ignore tout...

- Je serai là, mon amour, pour te protéger, quoique j'ai l'impression de servir à rien...

Il serra davantage Engess, de peur de la perdre comme se fût le cas avec Amélia. " Je l'aime... je l'aime tellement et je la connais si peu... Comment une relation aussi énigmatique peut se construire? ... J'ai tout le temps pour la connaitre... "

-Je n'ai que pris le rayon à ta place... Sans toi, je serais mort...


Soudainement, il senti le réveil de Kal'torak, en arrière. Il arrêta la charette, se dégagea doucement d'engess et alla rejoindre l'étrange jeune homme.

Kal'torak se releva sur ses coude et retomba acosse de la douleur que lui procurait sa blessure au dos. Il resta allonger et esseya de bouger sa tête et s'appercu qu'elle ne le faisait pas soufrir. Il repéra Engess et continua a cherché d'où venais la seconde voix. Il appercu l'homme accoter de la charette et le dévisaga.

"Qui est-tu?"La question simple et courte pris une grande partit des réserves d'énergies qui lui était revenu durant son sommeil.

-ne t en fait pas c est un ami il ne nous veux pas de mal

Lömion fit un sourire mesquin à Engess, et répondit à l'homme :

- Cela a peu d'importance pour le moment...

Il replaça une longue mêche argentée derrière son oreille et s'agenouilla devant le jeune homme.

- Vous devez vous reposer, vos brûlures sont graves et vôtre énergie n'est plus.

"Je ne dormirai pas. Je suis plein de vie je pourait vaincre tous les démons de cette terre et ceci a l'instant même." En disant cesi torak essaya de nouveau de se relever mais il échoua et se fit même mal en retomban. Pour finir il se cogna la tête sur le banc et s'assoma.

Engess emit un leger rire

-ca lui aprendra a vouloir se vanter, moi meme je me sens encore faible.

Sur ces mots elle observa son bras blesser et fit une moue decourager en decouvrant qu elle ne pourait sans doute plus tireer a l arc avant plusieur semaine...

Lömion soupira, replaça l'oreiller du jeune homme téméraire, et repris sa place près de sa douce. La nuit tombait rapidement à l'horizon, laissant parraitre un merveilleux coucher de soleil. Le demi-ange pris les reines, et ordonna à la bête d'avancer.

Torak qui était incontien suite a sa comotion cérébrale qu'il avait eu suite a sa chute sur le banc de bois. Il ne révait pas, il ne se reposait nulement d'ailleur et même qu'il devenai de plus en plus faible a cahque minute qui passairent mais personne ne pouvait distinger un sommeil profond d'une comotion cérébrale. La seul différence était la facon dont elle commence.

Finalement la nuit se coucha finalement sur les terres d'exylet la lune apparue et des milliers d'étoiles rehaussaient les magnifique trait des deux personne qui était assis a l'avant.

Le demi-ange stoppa le cheval noir. Il fallait établir un campement puisque la nuit était tombée et, que tout le monde avait grand besoin de repos. Lömion souria à sa belle Engess, déchargea les couvertures de la charette et les déposa sur le sol. Il proposa de l'aide à la jeune et installa une couchette improvisée pour elle. Le chevalier s'occupa alors de l'étrange jeune homme au masque. Il l'apporta lui aussi sur une chouchette, en fesant bien attention de ne pas toucher ses blessures. Lömion avertit Engess qu'il allait rapidement chercher quelques branches pour allumer le feu. Une dixaine de minutes plus tard, il revint les bras pleins. Le demi-ange commença à frotter deux silexs, et réussit à comencer le feu qui s'embrasa rapidement. Il revint s'aseoir près d'elle.

Lorsque Lömion Finiel vint s asssire a ses cotés elle se blottit contre lui. Tout était paisible et les eclats de lune jouait dans les cheveux argent/ de son beau chevalier Mais Engess posa enfin la question qui lui brûlait les lèvres.


-D 'ou viens-tu?

...

Lömion lui souria, et puis répondit :

- De la Citée de Anges...

Il flatta doucement la nuque de la jeune dame.

- Et vous, ma belle Engess?

-Je...je ne sais pas...

Il jugea bon de ne pas approfondir le sujet pour ce soir. Le grand chevalier l'embrassa tendrement sur les lèvres et puis lui disa :

- Fais des beaux rêves, ma belle.

Le demi-ange se leva et alla se coucher sur sa simple couchette.

Torak qui avait été étendu près du feu ressentais une chaleur sur son visage cela faisait déjà quelque minute et chose étrange il commença a rêve. Chose impossible il ne rêvait pas mais il ne savait pas se qui se passait.

Devant ses yeux un feu brulait mais se n'était pas le petit feu pour se réchauffé qu'avait allumé L'homme en manteau rouge mais plutôt un bucher. Le bucher il le reconnu facilement c'était celui du jour où il avait presque perdu sa cher vie. C'était aussi le jour où il avait appris qu'il était doter d'un pouvoir magique le pouvoir de se déplacer dans l'espace. Mais il ne voyait pas cette vision pour rien. Il y avait une chaleur sur son visage et la dernière foi qu'il avait ressentit cette chaleur il avait perdu le contrôle. Il commença à se demander si ce n'était pas la même chose cette fois aussi. Il sentait une chaleur croissante sur son visage mais seulement où il y avait son masque. De l'autre coter de son visage il ne ressentait absolument rien il ne faisait ni chaud ni froid. Il se trouvait entre deux mondes différents, un où il ne pouvait que souffrir et l'autre qui semblaient confortable. Mais il ne pouvait pas choisir et ne se contrôlait plus il voulait de toutes évidence allez dans le monde où ils seraient confortable mais il ne se dirigea plus.

Sans pourvoir réagir son corps bascula. Il se retrouva dans ce monde où les flammes rognaient son corps. Où il ne pouvait plus que souffrir, cette souffrance il la connaissait. Il l'avait déjà connu. Il s'en souvenait très bien. Il ne se souvenait pourtant pas les événements qui suivirent. Ils se rappelaient seulement un cri effroyable a ses oreilles mais il ne pouvait que l'écouté. Ce cris lui rappelait quelque chose, dans ces plus lointain souvenir mais il ne trouva pas. Il continua à chercher dans ces souvenirs les plus cachés mais il ne trouva pas non plus.

A ce moment, il décida d'aller plus en profondeur dans sa mémoire malgré la douleur que lui procurait la chaleur brulant sur son visage et qui commençais à se répandre dans tous son corps. Il commença par essayer de se remémorer ses souvenir les plus effrayant il commença par sa mise sa mort qui a échouer et ensuite il alla jusqu'a la mort de ses parents les seul être qui on eux un semblant de pitié pour lui. Mais aucun de ses souvenirs ne lui rappelais ce cri de démence. Il se remémora même sa naissance, se qui est très rare pour un humain de se rappeler cette partit de leur vie. Mais même les cris de sa mère lors de se moment ne lui disait rien. Il continua sa recherche des événements les plus récents au plus loin dans sa mémoire. Il ne trouva aucune scène où il entendait crier comme cela.

Mais il s'aperçu que malgré sa mémoires phénoménales qui lui manquai quelque bout de son passer. Il se dit alors que ses cris doivent appartenir à une des ses moment de sa vie qu'il avait oblier ou qui n'avait pas eux contience. Il essaya de se rappeler ses moment mais ne réussi a rien.

La chaleur était rendu a la ceinture et dévorai son corps, il ne pouvait rien faire pour contré cette douleur qui le rognai il ne connaissait pas le remède il avait été rongé une fois par les flammes et cette seconde fois était de trop pour torak. Il ne pouvait ni se retourner ni crier ni même se suicider pour stopper cette souffrance affreuse qu'un mortel ne devrai jamais souffrir. La chaleur n'était pas la seul souffrance que torak éprouvait il y avait aussi les cries qu'il entendait.

Il savait qu'il y avait un rapport entre les deux souffrances. Pour échapper a la douleur le plus possible il replongea dans ses penser. Il retourna tous ses souvenirs mais ne trouva rien de plus que la dernière fois. Il continua et ne retrouva rien cet état de confusion dura pour kal'torak durant une éternité mais n'occupa que quelque seconde de sa vie. Pourtant, il refit le tour de ses penser plusieurs fois sans toujours trouver.

Après avoir abandonné la partit et se laisser dévorer par les flammes, il commença à penser qu'il devenait fou tellement la douleur était grande. Il n’entendait quasiment plus la vois qui criai il n’entendait pas non plus son coeur battre il ne se sentait plus respirer il ne voulait plus réfléchir. Il voulait seulement mourir. La douleur était rendu a ses pied les flammes brulais son corps en permanence et il ne pouvait rien y faire.

Soudainement, sans qu'il n'est penser a quoi que se soit il retourna dans ces penser mais ce n'était pas les siennes car il se voyait comme si il n'était pas dans son corps. Il voyait un bucher et plusieurs branches dessus il reconnut le village. C'était le village où il avait été pris par un paysan entrain de voler dans sa maison. Il se voyait entrain d'avancer, ou plus tôt de se faire trainer inconscient devant la foule. Il vit le même paysans l'attacher sur ce bucher, repartir et il vit arriver l'homme à la torche. Il vit l'homme mêtre le feu au bucher mais il ne pouvait qu’assister impuissant à se qui aurait pu être sa mort. Il attendit le cri, que le kal'torak de sa vision, avait poussé, son cris. Il se vit disparaître du bucher.

Là se qu'il vit était nouveau pour lui. La foule qui c'était rassembler pour voir un voleur se faire bruler ne savais comment réagir face a cette situation. Les plus craintif prirent panique et commençaient à courir partout en criant: "Aux sorcier!! Au sorcier!!" et toute la foule finie par être prient de panique quand une ombre se leva au sud de la place centrale.

L'ombre saignait de partout et titubait mais il avait une dague a la main. Torak reconnu sa propre dague. L'ombre perdu son capuchon et torak pu reconnaitre sa propre figure tous brulé, tout ensanglanté par la souffrance qu'il venait de vivre. Le kal'torak se précipitait au centre de la foule et n'hésitait pas à tuer quiconque se mêtait sur sa route il trouva l'homme qui était la cause de tous ses souffrances il le tua sans même prendre le temps de lui parler il lui coupa le ventre de sa dague et finit un deuxième coup avec le cou et il lui arracha le cœur.

Une femme, non loin du corps et de l'assassin qui était dévisager par les brulures et par le sang de ses victimes, avait poussé un cri effroyable a glacer le sang dans les veines. Se cri était le même cri qui tourmentait torak depuis une éternité pour lui. La vision n'était pas finie. Il se vit lui même tuer encore la moitié du village sans pitié ils les tuaient sans attendre de réplique mais certaines personne avait réussi à atteindre la milice qui était assez éloigné et qui venais juste d'arriver. Torak disparut de nouveau et la vision fini pas ce long cri de la veuve qui pleurait son défunt mari.

Torak qui venais de comprendre la signification de se rêve se révéla en sursaut et cria de toute ses forces qui fit sursauter engess et l'homme avec elle. Torak qui était épuisé retomba tout de suite dans un sommeil sans même avoir parler appart ce cri qui déchira la nuit. Torak tomba dans un sommeil réparateur sans aucun rêve.

(ouf j'ai fini il est présentement 11h35 alors Lömion Finiel j'espère que tu est contante de la job car c'est ta faute... on je blague aller bonn lecture...)

Hj : Journal de Bord d'une fille morte de fatigue... Il est présentement minuit pile et je vais me coucher .